Ciné-concerts / Arts visuels

Films muets et improvisation à l’accordéon par Pascal Contet

« J’aime entrer dans le film, le manger, le disséquer et le digérer par mes instants musicaux spontanés et réfléchis. Je n’aime pas me laisser prendre par les lignes émotives de telle ou telle autre scène qui ne souligneraient qu’artificiellement la force créative du réalisateur. En revanche les évoquer, jouer par jeu de ricochet, de fugues ou de contrepoint, souligner un éclairage, un geste, un symbolisme subliminal me semble un chemin de connivence avec la structure du film et donc du regard porté par son réalisateur. Lors du ciné-concert, je m’amuse à imaginer le voir avec le public pour la première fois même si cela n’est pas le cas puisque visionné au delà du normal. »

Pascal Contet

Fiche technique

1 écran de projection
1 chaise posée à jardin de l’écran
Lumière légère (ambrée) sur le musicien (15%)

Projection
Sur support DVD
Lecteur DVD
Moniteur posé aux pieds du musicien (possible TV)

Sonorisation (à définir selon l’acoustique du lieu)
Si oui : 2 micros droite et gauche de l’accordéon et diffusion frontale en salle

Presse

« Le compositeur et accordéoniste Pascal Contet trouve les accents rauques qu’il faut pour tenir le rythme. Superbe voix que celle de l’accordéon qui crie parfois d’un souffle muet, d’une respiration presque humaine » – Télérama

« Si Gosses de Tokyo frappe par sa maîtrise du burlesque mêlée à un sens aigu de l’observation, la musique de Contet, elle subjugue par sa précision et sa capacité à apporter un petit plus à l’ensemble sans dénaturer le travail original. opération réussie » – Le Télégramme

« Splendide exercice de style. Jamais pesante, elle préserve la visibilité, accompagne au sens le plus noble, se fait humblement oublier tout en apportant du sens, s’efface en s’intégrant » – Citizenjazz.com

« Pascal Contet synthétise parfaitement l’idée d’une modernité accessible, riche d’invention et qui, tout en ne rompant pas le fil qui le relie à l’histoire de son instrument nous en impose une nouvelle approche magique, composée et imaginative, comme le souffle, comme l’air ; léger, dense, indispensable » – France Musique, David Jisse

« Pour bien goûter Contet, il faut lâcher la rampe de l’accoutumée, accueillir, comme pour Messiaen, les sons-bruits qui pèsent ou posent, cataractes où cris d’oiseaux, laisser l’oreille se noyer, au risque de se perdre » – La Marseillaise

« Un son instrumental à la fois minimaliste et grandiose ; une technique jamais tapageuse et qui s’applique en permanence à se faire oublier » – Radio France / Le Kiosque